Outre les deux maisons contemplant une rivière, j'avais l'idée d'une jeune fille regardant un fantôme (ou le fantôme qui la regarde, à voir, lol) dans une forêt.
Profitant d'une promenade en forêt avec ma famille, j'ai donc pu prendre quelques cliché (dégoûtée : la chênaie que je voulais spécifiquement prendre en photo à étée rasée !!!!! Détruite !!!! C'est comme si on m'avait ôté une parcelle de moi 0_0 )
PHOTOS PERSOS : PAS TOUCHE !!!!!
Dans mon esprit, ça donnait à peu près ça :
Le petit garçon cachant son visage représentait le fantôme. Je voyais la jeune fille en jean puisque c'est une ado, mais pour la vision fantomatique j'étais bien incapable de réussir quoique ce soit. Je pensais qu'il suffisait de redimensionner la photo pour l'insérer, qu'elle porte un haut plus rouge (ça je sais faire ;-) ) qu'elle ait les cheveux plus long....
Après bien des manipulations de copier/coller et autres filtres magiques sous GIMp, voici à quel résultat je suis parvenue :
Mais le travail de designer, c'est autre chose. D'une part, la dimension est absolument innapropriée ! En dimension réelle, c'est à peu près ça :
Là, c'est non seulement basique, mais en plus tassé ! Hé oui, concepteur pyrographique en côte de porc (seule ma famille comprendra la référence à 3 ct d'euros) ça ne s'improvise pas et Designer non plus ! On voit pas du tout que l'écureuil du coin est comme "collé" sur l'image, par exemple (tu parles :-p ) Et franchement, mon fantôme ressemble à tout sauf à un fantôme, bref.)
Et je ne m'attendais pas à cette autre vision de ma couverture : celle de shyY ( Voir son site web ). Complètement inédite et innattendue pour moi :-D Bien-sûr, cette couverture je ne peux pas la montrer, d'abord parce que ce travail lui appartient (ouais, les droits d'auteurs, quoi ;-) ) et puis... je crois que je vais plutôt vous laisser la surprise :-)
Je lui ai demandé si il veut bien de mixer sa vision et la mienne pour arriver à un résultat parfait, dans la mesure où nous nous définissons chieurs tout les deux, on devrait pouvoir y arriver ;-)
Hé oui, le travail d'écrivain indépendant à celui-ci de magnifique et de passionnant que même pour la couverture, on doit se débrouiller avec nos relations ou nos talents (ou non-talent dans mon cas) Encore une étape qui avance, pas à pas...
S'IL VOUS PLAÎT : NE TOUCHEZ PAS À MES PHOTOS, MERCI !
(et d'ailleurs, pour en faire quoi ????)
Résumé :
L'auteur nous raconte l'histoire de ce petit garçon, né après guerre, qui s'imagine un frère ainé. Dans le silence de ses deux parents se cache un terrible secret... Son propre secret qui, après avoir meurtri l'enfant fragile qu'il était, a façonné l'homme qu'il est aujourd'hui.
(l'exemplaire que je tiens dans les mains est celui de France Loisirs, édité avant la sortie du film)
Biographie :
Philippe Grimbert est psychanalyste. Il a précédement publié trois essais : Psychanalyse de la chanson, Pas de fumée sans Freud et Chantons sous la psy, et son premier roman La petite robe de Paul (2001)
Pourquoi j'ai voulu lire ce livre ?
Je pense que cette attirance avec la période des deux guerres mondiales remonte à mes cours de troisième. Pourquoi ?
Un prof d'histoire passionnant et passionné qui m'a transmis le virus ?
Parce que mon père est précisement né en 1942, en pleine guerre ?
Parce qu'un secret, tel celui relaté dans le livre/film trouble l'histoire de ma famille ?
Non.
Je pense que c'est beaucoup plus simple...
Ça remonte à mes racines.
À ma patrie.
J'habite en Alsace, ces fameux territoires perdus. Ici, ce sont les histoires d'une population livrée aux allemands. Quand je foule du pied le site du Hartmanswillerkopf ce sont les cendres des Poilus et plus tard des soldats de 39-45 que je piétine. Quand mon regard s'arrête sur les monuments aux morts dressés ici et là dans les communes, ce sont autant de familles, de couples brisés, de destins tragiques ; qui me sautent à la figure !
Je vis dedans.
Et je l'accepte.
Pire, j'en redemande.
Recueillir les coupures de presses, les livres, les films ou les documentaires de cette période difficile sera sans doute l'un des buts de ma vie. Ne pas oublier. Ne pas recommencer. Mon devoir de mémoire comme ils disent.
Au delà de ça, je trouve intéressant, fascinant, de raconter les traces indélébiles d'un secret de famille. Cette fameuse armoire close, cette pièce secrète. On en a tous une, non ? Ce livre nous le renvoie en pleine figure, nous ramène à notre propre histoire, nos propres doutes... Je lui reprocherais peut-être une certaine "fadeur" pas assez dynamique, manque de dialogues pour rythmer l'histoire, mais enfin, il s'agit avant tout d'une autobiographie romancée, cest donc normal ! Le dénouement est bouleversant, on en veut à mort à cette femme, et puis, malgré nous, on tente de la comprendre, de reconnaître que par amour, on est prêt à tout. Que dans ces temps difficiles, les personnes n'étaient sans doute plus vraiment elles mêmes... Et qu'un tel geste puisse être possible.
À peine ai-je lu ce livre que le film sortira au cinéma. Bien-sûr, j'ai envie de le voir, mais dans la vie, on ne fait pas toujours ce qu'on veut ! Je dois donc patienter jusqu'à ce jour où il me saute aux yeux, dans le rayon de ma médiathèque favorite.
J'ai lu et conservé le magazine "Version Femina" consacré à ce film. Je vous en retranscrirait volontiers quelques morceaux choisis, mais il suffit d'avoir besoin de quelque chose pour ne plus se souvenir où on a bien pu le laisser, non ?
Un secret - film réalisé par Claude Miller, sorti en salle le 03 octobre 2007, sorti en DVD le 03 avril 2008 :
Parlons du casting... Source des photos : Allocine.fr
Cécile De France :
Magnifique dans le rôle de Tania. Dans le livre, elle a les cheveux longs, elle est brune il me semble. Dans le film, elle a les cheveux courts et blonds. Elle reste sublime. La scène mythique du plongeon est retranscrise avec une justesse admirable. Le maillot noir, le bonnet de bain blanc, chaque détail compte. Les échanges de regard, les doutes qui submergent Hannah à ce moment-là, on comprend tout. Dans le livre, tout y est amplifié, plus précis. Comme quoi, on ne rentre vraiment dans l'histoire que lorsqu'on a et vu le film, et lu le livre. Pour moi, les deux sont complémentaires.
Tania est une femme écorchée, déchirée de culpabilité. Elle résiste fièrement aux regards insistants de Maxime, mais la vie et la séparation avec son propre mari la ratrapera... malgré elle.
Ludivine Sagnier :
J'ai cru que le personnage de Hannah était vraiment en totale opposition avec celui de Tania à cause du paragraphe suivant : "Pauvre Hannah. C'est la phrase qui m'est venue à l'esprit lorsque plus tard j'ai découvert ses photos, ému par sa rondeur, par la fraîcheur de ses yeux clairs posés sur Maxime (...)" Ce "Pauvre Hannah" je l'ai interprété méprisant et j'imaginais ainsi un personnage banal, presque laid.
Ce que Ludivine Sagnier n'est absolument pas. Elle est fraîche, sincère. Elle joue le rôle de la maman fière et protectrice à merveille. Souriante, presque naïve au départ, son masque tombe au moment où elle comprend ce qui se passe entre son mari et Tania. Il n'y a plus l'ombre d'un sourire dans ce visage-là. Il n'y a que l'incompréhension, la froideur, peut-être de la haine aussi. Dans le livre, l'auteur parle de mutisme. Pourtant je trouve ce "mutisme" encore plus profond à travers le jeu d'actrice de Ludivine ! J'y décèle une sorte de rage contenue, je me trompe peut-être...
Cette scène, c'est le fameux moment que j'appelerais sa vengeance. D'autres (et les propres parents de Philipe Grimbert en premier ! ) l'interprètent comme une étourderie ou comme un désir de disparaître et de laisser la place au nouveau couple. À chacun de voir.
Je comprends alors en regardant le film, en écoutant le documentaire raconté par l'écrivain que ce "Pauvre Hannah" n'est pas du tout méprisant. Il est compatissant.
Cet homme que se partagent les deux femmes. Macho, sûr de lui, il admirera autant son premier fils qu'il blessera le second. Malheureusement, avec Patrick Bruel, ça ne passe pas. Il reste pour moi le chanteur à succès ou le prof rebelle et reloud du film... P.R.O.F.S (ils y sont les points où je l'ai inventé ???)
Je ne peux pourtant renier ni ses talents d'acteurs, ni sa jutesse dans le rôle ! C'est pas lui, c'est moi. Dans mon enfance, j'ai été habituée à ranger les gens, les choses, les leçons dans des "tiroirs". Patrick Bruel fait partie de mon enfance. Il reste donc dans ce "tiroir" (tout ceci est très étrange : mais ce n'est pas le but de l'article ! )
Dans le film, on verra le personage de Maxime (ainsi que ceux de Tania et Louise) plus âgé. Jai trouvé amusant d'avoir un aperçu de ce que sera mon "chanteur à minettes" quand il sera... vieux ! Si vous achetez/empruntez le DVD ne manquez pas la scène de Julie Depardieu et Cécile De France grimées en "mamies" qui dansent le disco !
Présenté comme un "juif antisémite" il nous brosse le portrait d'un homme insoumis qui ne veut pas croire aux horreurs que sa communauté va cruellement subir. Il saura protéger sa famille de cette infamie, mais il ne saura pas rassurer sa femme sur l'amour qu'il lui porte.
On aurait envie de lui en vouloir. De se dire qu'il a mérité ce châtiment. Mais non. Aucun être humain n'a mérité cette persécussion.
Julie Depardieu :
La sagesse, le médiateur du triangle dangereux. Plus "diminuée" dans le livre que dans le film. On ne ressens pas assez sa fragilité, je la trouve plus forte. C'est une dimension très intéresante apportée par l'actrice par rapport au personnage du livre.
J'en ai déjà dit beaucoup sur le film à travers la présentation des personnages. Vous apprécierez je pense, tout comme moi, la scène du mariage de Hannah et Maxime, très festive, très joyeuse. Sachez enfin pour finir que l'écrivain Philippe Grimbert joue un petit rôle dans le film. Un rôle qui lui va à merveille. Les bonus vous expliqueront tout sur ce choix judicieux.
Ce film est évidemment à déconseiller aux enfants, ainsi qu'aux âmes trop sensibles (je ne parle pas de scènes qui peuvent "heurter" dans le sens "horrible" je parle de l'histoire en elle-même, qui est bouleversante et vraiment tragique. )
(hooooo, le beau-faux ciel bleu :-p )
À défaut de titre, voici quelques photos qui pourraient me servir de base pour la couverture :
Ce sont des photos personnelles, il est donc évidement interdit d'y toucher (et d'ailleurs pour en faire quoi ? Lol ! ) Sauf bien-sûr, pour me proposer des améliorations.
Car franchement, je ne vois pas la(les) photo(s) telle(s) quelle(s) comme couverture finale.
C'est pourquoi ShyY, designer, s'est gentiment proposé d'améliorer mes photos pour la couverture :-)
Grâce au filtre "courbe" j'ai pû "récupérer" un peu du bleu du ciel... J'ai renforcé également la netteté
C'est la même "pas améliorée"
Autre cadrage.
Donc, comme je te l'ai déjà écrit, il faudrait une maison qui fasse "ancienne, chaleureuse, masure" et une "moderne, froide, impersonnelle" à gauche, à droite, peu importe...
L'enseigne sur la maison de droite peut rester, mais il faudra la modifier (je ne veux pas avoir de soucis avec les propriétaires du bar en question ! ) Par ailleurs, si elle n'apparaît pas, ce n'est pas grave.
Je voudrais le ciel et la rivière "plus bleus"
Il n'est pas nécessaire d'avoir autant de végétation, mais il n'est pas non plus nécessaire d'en ôter...
Modifie autant que tu voudras les couleurs, l'état du toit, la disposition des fenêtres, du jardin, etc... afin que l'on reconnaisse le moins possible les maisons ! C'est juste "l'état d'esprit" de la photo qui doit rester...
Et si tu peux remplacer une des maisons par celle-ci (qui est vraiment différente, et qui fait vraiment "masure" parce que là, les deux se ressemblent un peu je trouve) ça me plairait aussi :-) (sinon, c'est pas grave)
Faudra juste effacer le gugusse orange qui trafiquote sur la facade mdr ! Et si possible aussi les véhicules (on peut aussi "découper" la maison, il n'est pas nécessaire qu'elles aparaissent en entier, je privilégie à la limite davantage la rivière :-) )
J'ai d'autres photos, d'autres cadrages, y compris une photo "plus proche" de la maison "remplaçante" bien-sûr, je peux aussi retourner à cet endroit pour faire d'autres photos sans aucun problème. Je précise à tout hasard aussi qu'il pleuvait ce jour-là, jai profité d'un sursaut de soleil, la lumière est peut-être meilleure à un autre moment de la journée (???)
J'ai essayée d'être aussi précise que possible dans mes questions, mais si tu souhaite d'autres renseignements, n'hésite pas :-)
J'y pense, il faut prévoir la place pour le titre ! J'ai éventuellement des photos avec "plus de ciel et de forêt" s'il le faut aussi...
Je te remercie par avance, envoie moi les propositions par mail (clique sur l'enveloppe, à côté de mon pseudo ;-) ou sur l'icône dans le forum où nous nous sommes rencontrés :-D )
Et voilà, chers lecteurs, une autre étape que je touche du doigt, je peux vous dire que c'est très excitant pour moi :-D
1. Camelote69 le 10-06-2009 à 12:34:25 (site)
Alors si je peux mettre mon grain de sel... je trouve que l'une des photos (avec plus de bleu dans le ciel et la rivière -> ça c'est top comme idée !) mais en version dessin serait chouette. Bon, je ne propose pas mes services, je suis une quiche en dessin mais juste, j'avais cette image. Un dessin tout beau comme dans les livres des "Martine" mais en moins enfantin bien sûr ! Ce côté "crayon de couleur" quoi...
2. BarbaraL le 11-06-2009 à 11:10:06 (site)
Merci pour ton commentaire Camelote69, j'y ai songé à une couverture illustrée, mais... figure toi que j'ai PEUR de me (re)mettre à dessiner ! Peur de ne pas être à la hauteur... on se refait pas, hein :-/
Le titre donc.
Cette histoire, raconte une suite de rencontres bonnes ou mauvaises (comme beaucoup d'histoires...) Les personnages se croisent, se séparent, se retrouvent. J'ai donc jugé bon, vers 16 ou 18 ans de l'appeler...
LES FORCES DU DESTINS
Ma soeur se fichait de moi, on a pas trouvé plus tarte comme titre ! Et de me rétorquer « Et quand tes personnages seront adultes, tu l'appelleras « Les forces du troisième âge » mouhahaha » Ma meilleure amie m'avait suggéré « La croisée des Chemins »... J'aimais bien aussi « Destins Croisés » (ha, ça c'est déjà pris)
Et puis, vers juillet 2008, je me suis fait la réflexion suivante :
« Jusqu'à présent, ce livre avait deux défauts majeurs :
- pas de titre (ou disons rien de défini) ce qui est tout de même assez fondamental !
- pas de fin. C'est à dire que, ce livre, c'était en quelque sorte, plusieurs chapitres jetés pèle-mêle ici et là dans ma clé USB que je rédige au gré de mes inspirations. Parfois, il suffit d'un truc qui se passe dans ma vraie vie, et hop, je le décrit différemment pour l'histoire de ma zhéroïne ; ou plus souvent, je suis juste "habitée" par un morceau d'histoire et je dois m'en délivrer en l'écrivant.
Donc, c'est vrai que les idées fusent dans tout les sens !!! En gros, c'est l'histoire d'une adolescente qui grandit devient femme, maman, hôtelière (tant qu'à faire, autant parler de ce que je connais ! ) et disons que j'ai encore plein d'idées d'écriture pour l'adolescence de ses propres enfants et les amis de ces enfants. Comme je l'ai dit : c'est un livre sans fin (tiens j'aurais dû l'appeler comme ça : "l'histoire sans fin" ha crotte, c'est aussi déjà pris ! )
Et puis, presque d'un coup, en mettant bout à bout tout ces chapitres en vrac, toute la trame quasi-infinie de l'histoire ; ça m'est apparu comme par magie. J'ai les six tomes : reste plus qu'à écrire tout ça de façon plus cohérente que "des morceaux d'histoires éparpillés". Et du coup, j'ai presque fini le premier tome aussi ! Voilà j'ai bientôt de quoi démarrer ma vraie carrière d'écrivain, il faut encore que je pense à passer un diplôme, à jeter un oeil sur le copyright et autre SNGL. Relire bien-sûr tout ce que j'ai pu imprimer à ce sujet. Bref, je m'étais fixé comme objectif que tout soit fini en janvier prochain
(en janvier 2009 donc, pour se replacer dans le contexte)
Je veux dire, un blog-livre, pour un livre papier, je me tâtes
(entre temps, je me suis bien tâtée (lol) et les expériences de Nolween Eawy
m'ont encouragée à me lancer pour de bon dans la publication
ou plutôt l'auto-publication)
... Hé bien, il y a peu de chances que j'y arrive avant... ce n'est pas si grave. »
Donc, comme il y avait 6 tomes, je suis allé plus loin dans la réflexion :
« Un titre avec un chiffre, un symbole !!!! C'est très tendance
-------> Coïn6dences ?
------> 6 comme 6 personnes qui comptent dans la vie de Lucie ?
------> 6 comme une constellation à 6 étoiles que Daniel ira « rejoindre » à la fin de l'histoire ?
------> 6 comme 6 personnes dont le destin est lié, y compris Lucie ? 6 personnes qui se croisent, se re-croisent, se séparent, se retrouvent ???
(Lucie, Daniel, Laurent... Sylvain ? Alain ? Valérie ? Alexia ? Olivier ?) »
Mais ça ne me plaît toujours pas... Il faudrait que les titres tournent autour d'un même thème, d'une même trame. Si on imagine qu'à chaque changement de tomes, mon personnage change de lieu de vie, je pourrais organiser les titres des différents tomes en fonction de ces différents déménagements.
« La maison derrière les glycines »
« Maisons au bord de la rivière »
"Maisons contemplant la rivière"
« La demeure aux balcons fleuris »
« Le lycée bordé de tilleuls »
« Appartement pour mini-famille»
"Logis des mésanges"
Etc...
Pourquoi pas ? Mais c'est vraiment la partie la plus difficile de l'histoire. Tout comme le résumé. C'est ce qui me ferait laisser tomber d'ailleurs.
Existe-t-il des professionnels qui pourraient m'aider ?
Fin février 2009 :
Après une grande panne créative, des idées de couvertures m'apparaissent ! Avec un « même thème » mais je n'en dirais pas plus...
Je pense que ces titres basés sur les changements de lieux ne sont pas mal. A un détail près. Pour le premier et le dernier tome, les personnages sont plus, disons, éparpillés. C'est plus l'histoire de toute une bande, voire de toute une... génération ! En voilà un mot qui résume bien l'histoire ! Mais voilà, s'il me semble simple de résumer les jeunes de vingt ans actuels « Génération internet/SMS/blog/lol (rayez la mention inutile) » ; si notre génération de trentenaires actuels se définit socialement comme la « Bof génération » (charmant ! ) ou la « Génération Mitterand » (à peine mieux... avec tout le respect que je dois à feu le président) Il me semble néanmoins beaucoup plus dur de définir les jeunes de vingt ans que nous étions à la fin des années 90 ? Qu'en dites vous ?
Que nous est-il arrivé de neuf à nous autres, il ya dix ans, quand nous avions vingt ans, par rapport aux précédents ? On a eu plus facilement accès aux scooters, aux téléphones portables, aux ordinateurs, à internet. Sauf, que pour vous replacer dans le contexte, par rapport à maintenant, on en était aux balbutiements...
Finalement, est-ce que le terme de « Génération Mobile » parvient à bien nous définir ?
C'est un vrai casse-tête, si quelqu'un a une idée lumineuse : je suis preneuse !
1. Laura, L'AUTEUR DANS TOUS SES ETATS le 10-06-2009 à 01:32:24
Je ne sais pourquoi, mais "La Maison Derrière les Glycines" me plaît... mais après évidemment cela dépend beaucoup aussi du contenu de tes manuscrits, de la couverture et du résumé...
Un conseil: ne te tracasse pas tout de suite avec le titre, il te viendra par la suite, telle une illumination...
2. Camelote69 le 10-06-2009 à 12:30:28 (site)
Ah oui, le choix du titre est toujours important mais il ne faut pas t'arracher les cheveux pour ça ! Un titre vient tout seul. Pour ma part, c'est souvent le titre d'une nouvelle ou la première (ou la dernière) phrase du livre. Je trouve ça poétique !
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